samedi 25 juillet 2015

Aujourd'hui mauvais endroit ou mauvais moment

Aujourd'hui une de mes petite-filles (6 ans) est partie pour la première fois participer à son camp nutons; Elle en parle depuis des jours tout excitée et a demandé cent fois à ses parents "combien de fois dormir encore?"
Le jour J est enfin arrivé et.... c'est la tempête, la pluie à verse.
Alors qu'il a fait si beau, si (trop) chaud tous ces temps-ci!
Vraiment, c'est pas de chance! Et je plains en peu les animateurs qui devront canaliser l'énergie débordante de ces petites filles. Enfin... les autres sont peut-être sages comme des images mais ma petite Mandoline (oui c'est son prénom!) a un caractère bien trempé.
Bon allez, on met ses bottes! son anorak... et en route pour la première balade de la journée
Bon camp ma chérie, c'est là un bel apprentissage de la vie en commun.

7 commentaires:

  1. Camp nuton ?? Kézako ???
    Un truc patronné par Nutella ?? !!!
    Pour apprendre à jouer de la guitare ? (pour une Mandoline, ça devrait s'imposer...)

    Bon, prions pour quelle soleil revienne !! (private joke...)
    :-))

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    1. alors, les nutons sont les petites guides de 5 à 7 ans tout simplement
      Et sans doute qu'au petit déj, il y a du Nutella ;-)

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  2. Est ce que les nutons dorment sur des futons ?
    :-)
    ¸¸.•*¨*• ☆

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    1. ah! rime amusante et plausible...
      (Céleste, j'admire ta persévérance dans ce jeu d’écriture! Pas un seul jour où tu n'as pas écrit! Même dans les derniers moments de ta vie ultra chargée!

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    2. Je te répondrai ce que je réponds toujours. Même dans les pires moments, je n'arrête pas de respirer. Et écrire est pour moi une respiration...
      je t'embrasse fort
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  3. Oh à 6 ans, pluie ou pas pluie ça change absolument rien.
    Je le sais par expérience parce que je me souviens de mes 6 ans
    j'étais dans un autre monde, complètement "ici maintenant"
    Y'a un poème de Krishnamurti qui décrit bien cet état
    en voici un extrait :

    Les villageois, bavards, chargés de lourds fardeaux

    Passaient à travers Lui,

    Sans le savoir et riant.

    Les chiens, à travers Lui,

    Couraient vers moi en aboyant.

    Une masure devint une demeure enchantée,

    Son toit rouge en fusion dans le soleil couchant.

    Le jardin devint un pays féerique

    Où les fleurs étaient des fées.

    Debout, profilé sur le ciel sombre du soir,

    kéa

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    1. ah oui! kéa, tu as absolument raison: l'enfant vit à fond dans le moment présent. Je réagis comme une adulte...

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