L'ombre du doute
celle d'un non définitif...
Je me trouve exilée sur l'ubac
il y fait froid, il y fait sombre
le soleil ne caresse que l'adret
Pourtant les petites fleurs sauvages
prennent bien garde
de s'ouvrir quand même
sur les pentes de l'ubac
elles restent déterminées
et aimantes...
Je ne savais même pas qu'il pût y avoir des hauteurs en Belgique.
RépondreSupprimerC'est quand même le seul "plat pays qui est le tien" avec un ubac et un adret...
tu ne connais pas les Ardennes belges?
Supprimertu as tort, c'est une région magnifique, verte avec des vallées parfois profondes
La Belgique est plate, s'il faut en croire le grand Jacques, mais sur la moitié nord uniquement!
De Bruxelles, je ne connais que Bruges, et il avait plu toute la journée.
RépondreSupprimerJe pense connaître la réponse que tu attends. J'espère avec toi que le non ne sera pas définitif. Je t'embrasse fort, Coumarine.
oh! Françoise, tu n'as pas eu de chance. Car Bruges est une ville magnifique!
SupprimerPour le reste, c'est un poème pour rien... pas de réponse, juste le plaisir des mots
Je t’embrasse aussi
Quel joli poème, Coum.
RépondreSupprimerTrès symbolique.
J'aime quand tu écris comme ça, au-delà de toi-même, juste à la limite entre deux mondes.
¸¸.•*¨*• ☆
avant la maladie, je pouvais écrire comme ça, facilement, à la limité entre deux mondes
SupprimerMais depuis, j'ai bcp perdu...
J'écris ici tous les jours, je m'obstine, en espérant que "cela" revienne". Je m'applique
Mais ce poème est quelconque, à peine joli...