Je me suis surprise à rêver pendant au moins 15min, sans parvenir à écrire
Parce que j'ai pensé que j'avais perdu beaucoup de ma force... de la vivacité de mon corps... (because artérite temporale il y a plus de quatre ans)
Alors je me suis un moment attendrie sur mon sort, pfffffff
juste ce que je ne dois pas faire... parce que je me sens (trop) vite glisser au fond du trou
Alors j'ai pensé à un autre genre de force: la force qu'il y a en moi... ce qu'on appelle la force intérieure, rien que ça!
Et j'ai souri! de cette force-là je n'en manque pas
Encore cet après-midi en faisant des courses obligatoires (je déteste!)
J'y suis arrivée sans trébucher... sans perdre l'équilibre
Rien qu'en faisant appel à ma force intérieure...
C'est pas beau ça???
En effet c'est très beau Coumarine. Maty
RépondreSupprimerLa force intérieure n'est pas dissociable de la force extérieure. Les deux forment un tout : vous.
RépondreSupprimerAlors ne vous laissez pas leurrer par ce que vous croyez voir ; soyez à votre écoute...
Passez un bon week-end.
Ah oui ! Ça c'est beau !
RépondreSupprimerSi t'avais pas oublié le pain, c'eut été parfait... ;-)
Oui, c'est merveilleux de sentir ce diamant brut vibrer en soi comme un quartz, quelque chose d'inaltérable qui n'appartient qu'à toi.
RépondreSupprimerBravo Coum, j'aime beaucoup les galets empilés façon zen de la couvertire du livre.
je t'embrasse
¸¸.•*¨*• ☆
oui tu as raison, on ne se relie pas assez à cette sublime pensée de force intérieure
RépondreSupprimermerci de nous le dire
En fait nous avons beaucoup de possibilités en nous. Mis nus nous limitons inconsciemment et nous n'avons pas assez confiance en nous. Mais nous pouvons nous surprendre !!
RépondreSupprimerNotre force intérieure est souvent mise de côté, quand on se sent fort à l'extérieur.
RépondreSupprimerEt puis la vie passe et un jour on se réveille plus faible et il nous faut apprendre à contacter notre force intérieure. Une découverte vers d'autres possibilités de vivre.
La force intérieure nous aide à surmonter bien des obstacles qui nous semblaient pourtant infranchissables. Alors continue, Coumarine ! :-)
RépondreSupprimerGros bisous.