mais je n'y suis pas arrivée... c'était raté!
puis j'ai tenté de grimper sur le dos d'une bernache, une de celles qui s'attardent encore auprès de "mon" étang. Je voulais voler, loin, haut, voir les paysages autrement,
mais je n'y suis pas arrivée, c'était encore raté!
J'ai fait encore deux autres tentatives de liberté, dont je ne vous parlerai pas, mais sans y arriver... ce fut raté!
mais je sais bien finalement que ma liberté, la vraie, se cache au profond de mon coeur
Tous les jours je marche sur un fil. La vie est si fragile !!
RépondreSupprimeroui Daniel c'est vrai... toi, moi, nous marchons sur un fil. Je me demande souvent jusque quand...
SupprimerA quand la tentative d'évasion de ta liberté qui se cache au fond de ton coeur douce Coumarine. Ta dernière phrase est vraiment sublime. Bise
RépondreSupprimeril faut au contraire que je la cultive, que je ne la perde jamais de vue...la liberté dans le fond de mon coeur est la pplus importante, car celle de mon corps... ce n'est plus ça ;-((
SupprimerBon, en fait t'as fumé quoi ?
RépondreSupprimer(je ris mais je fais souvent des rêvasseries comme ça...)
ben voilà, on se rejoint là...
Supprimertu peux comprendre que je ne suis pas folle.:))
Nous marchons tous sur un fil, peu ou prou, dans un monde absurde ou chacun prend ses convictions comme balancier pour tomber le plus tard possible...Car nous savons que nous tomberons un jour, c'est ce qui rend la traversée exaltante.
RépondreSupprimerUn équilibre fragile que tu retranscris merveilleusement bien.
Bisous funambules
¸¸.•*¨*• ☆
le monde est difficile, et même dramatique par moments, nul ne peut le nier
Supprimermais je ne le vois pas comme absurde. même si nous ne comprenons pas tout!
Mais nos petites cervelles ne peuvent pas tout capter, pas encore du moins...
La traversée se fait parfois pour certains, en serrant les lèvres... je ne dirais pas à ce moment qu'elle est exaltante, dans le sens où tu l'entends sans doute
“En vérité, le chemin importe peu, la volonté d'arriver suffit à tout.” A.Camus
RépondreSupprimerC'est ce que m'évoque ton billet.
Il avait tort, Albert.
SupprimerC'est le chemin qui est intéressant.
Parce que la fin on la connaît...
Il ne parle pas de l'issue, mais de ce qui nous meut.
SupprimerEnfin, je crois, je ne suis sûre de rien.
j'ai tapé sur gogol "c'est le chemin qui compte" il y a pas mal d'auteurs qui ont parlé de cela!
SupprimerPour moi aussi, c'est le chemin qui est intéressant, qu'il soit douloureux ou exaltant!
La fin dépend de ses croyances... même si je crois en Dieu, je ne sais pas trop à quoi je peux m'attendre à la fin...
par contre tu es en liberté totale dans ton écriture que j'adore! merci
RépondreSupprimerje le suis ici plus que dans mon blog "principal où je n'écris presque pas/plus!
SupprimerL'écriture brève m'oblige à aller à l'essentiel de ce que je ceux dire. C'est une écriture qui me convient bien!
"J'ai fait encore deux autres tentatives de liberté, dont je ne vous parlerai pas, mais sans y arriver... ce fut raté!"
RépondreSupprimerT'as juste pas osé conduire...
rha la la, le Gout!
SupprimerJe sais que tu m'encourages à conduire... et c'est exact que sauf pour de petits trajets que je connais bien, j'ai le plus souvent peur de prendre le volant.Je t'ai déjà expliqué que nos deux situations sont plutôt différentes non? Ton cerveau s'est habitué à la situation, depuis le temps!. Le mien a quelques difficultés à ce sujet
C'est un vieux cerveau et donc il peine... (terme belge!!
Mais j’aime bien que tu m'encourages, je me suis lancé des défis que j'ai réussis... hein! tu en dis quoi ;-))
Il est joli ton billet, j'aime.
RépondreSupprimerohhh! merci Eva!
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