Hier j'étais encore l'invitée du vent, de la mer et du soleil
Une invitée consentante - ô combien!- et gourmande
J'ai marché longuement face au vent, dos au vent, puis face au vent à nouveau... c'était infiniment bon! Et je me suis sentie revivre.
J'ai prêté l'oreille au craquement des coquillages nus sous mes pas, abandonnés par la mer, enfoncés dans le sable mouillé. Je me suis baissée pour en ramasser un... beau et coloré, que j'ai essuyé doucement et enfoncé dans la poche de mon manteau. Il est là maintenant, sur mon bureau et me parle en silence des cris des mouettes qui l'ont accompagné dans son périple marin..
Juste un coquillage que j'ai pris soin de ne pas faire craquer...
Comme c'est joli, quand un coquillage nous parle en silence. Ton texte est un beau poème qui respire l'air, la lumière, la vie.
RépondreSupprimerBisou Coumarine
merci bizak pour ce compliment donné par le vrai poète que tu es ;-)
SupprimerQuelle merveille ce texte qui sent l'air du large, et la joie qui s'est insinuée en toi comme le vent dans ce coquillage.
RépondreSupprimerje me réjouis que tu aies fait ce séjour à la mer. Ta mer. Celle que tu chéris.
¸¸.•*¨*• ☆
merci céleste...ton commentaire me fait plaisir
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