Au commencement est le silence, celui qui berce les balbutiements de la vie, de la nature et plus encore de l'âme. Silence porteur et fécond, profondément pacifiant
Ensuite il y a la musique, (par ex les 4 saisons de Vivaldi). Et toute musique qui me transporte dans les dimensions de l'au delà de moi, m'ouvrant largement le corps et l'âme
Puis l'ouverture vaste et infinie, ouverture du corps qui accueille et se donne, qui jouit et exulte... ouverture des frontières physiques et mentales
Puis la profonde gratitude pour les dons reçus, les miracles advenus, la tendresse et l'amour
Enfin la vie, trésor incomparable et si souvent galvaudé hélas, la vie... la vie grande et belle, la vie qui frémit à tous les coins de la terre et de l'âme... la vie!
ce thème est très intéressant car il se différencie un peu plus des autres de par nos réponses . Nous avons choisis des mots essentiels différents et de fait il est encore plus intéressent de voir la contribution des autres. C'est vraiment un joli moment à partager!
RépondreSupprimeroui c'est intéressant de lire comment chacun s'y est pris pour traiter cette consigne!
RépondreSupprimerLes mots choisis par les autres me conviennent tout autant, les tiens par exemple ;-)
Il s'agit donc d'une "consigne"... Sourires
RépondreSupprimerPeu importe ton texte me parle beaucoup Coumarine !
nos mots respectifs nous ont toujours interpellées, chère Suzame
SupprimerJe suis heureuse que tu me rejoignes ici ;-)
4 des 5 me rejoignent.....
RépondreSupprimerLa musique ? .... (j'ai failli écrire : des hommes) C'est curieux, on dirait qu'elle me quitte.... au profit du silence..... mais, peut-être que la musique du silence me sidère... ou celle de la nature.... où mieux encore la musique de la mer, qui, à l'instant, charme mes oreilles, là devant moi, écrivant de mon balcon donnant sur les flots...
Oui, le silence est musical, un chant inné en chacun
RépondreSupprimerIl est là depuis ma naissance dans n'importe quelle situation
mais c'est dans le silence que je l'entends le mieux
le silence mental je veux dire, quand je m'éloigne un peu
du tourbillon des pensées. kéa