Aujourd'hui, ou plutôt hier, j'ai exercé ma liberté d'expression, en écrivant un billet provocateur, qui pouvait sérieusement mettre en danger la douce et sage Coumarine. Je l'ai publié le coeur un peu serré: et si on prenait pour de l'argent comptant la "confidence" que j'y faisais?
Je l'ai dit: j'aime cet exercice des cents mots. Et parfois un petit démon me pousse à provoquer, ce que je n'ai jamais fait sur mon blog principal. Ici ce n'est pas pareil, les textes sont obligatoirement courts, les lecteurs ne sont pas nombreux et j'ai une furieuse envie d'exercer ma pleine liberté, et d'écrire ce que je veux comme je le veux!
On s'amuse comme on peut! Et moi, je m'amuse avec les mots...
Il faut écrire en toute liberté!
RépondreSupprimerje me suis souvent sentie freinée sur mon blog, ici c'est curieux, pas du tout!
SupprimerC'est vrai qu'en mode court et dans un espace plus intimiste, il est plus facile de se lâcher, et ça fait du bien.
RépondreSupprimerD'ailleurs, à propos de ton petit texte d'hier, perso je l'ai trouvé assez "amusant" parce qu'il montre un autre aspect de toi ;)
voilà Cassy, tu as tout dit, je suppose que pour toi c'est un peu pareil?
SupprimerAh oui! cet aspect de moi que j'ai voulu montrer hier... il était... euh... inattendu!
;-)
billet provocateur de dire :
RépondreSupprimer- Je ne dirai pas, surtout pas, que j'ai eu un amant que j'ai aimé à la folie ?
En revanche, ça suce tété !
- Je ne dirai pas, surtout pas, que j'ai tué mon amant que j'ai aimé à la folie
;-)
mais tu vois? je ne sais plus très bien ce que j'ai fait de ce bel homme...
SupprimerPeut-être après tout l'ai- je tué!!
mais qu'ai-je fait de son corps?
Tu as une idée? ;-)
Mmmh, pour ça, il faut regarder "Section de recherches", ça donne des idées (pour savoir ce qu'on fait du corps, il y a un épisode où l'assassin jette un corps aux cochons, l'ennui, c'est qu'il reste un doigt). Le crime parfait, ça existe ? (Pivoine).
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