Dormir paisiblement, comme le dormeur du val dans son trou de verdure...
On imagine un endroit de paix, de calme, de sérénité, on entendrait presque chanter les oiseaux.
Pourtant ce dormeur, et si on s'approche on le découvrira dans toute son horreur, cache dans son flanc un trou que le sang inonde
Ainsi la sérénité et le rude combat se côtoie si souvent en moi.
Parfois la sérénité m'enveloppe de sa tendresse, et je peux me tenir debout, avec courage et confiance dans la vie.
Parfois le combat me couche par terre dans le sang et la tempête...
Jolie allusion au plus beau poème de Rimbaud.
RépondreSupprimerJe te comprends cinq sur cinq. Parce que cela m'arrive aussi de vaciller et de me coucher sur le flanc comme un cheval blessé.
Mais on est là pour toi, Coum, tu le sais ?
¸¸.•*¨*• ☆
Quel beau texte sur la faiblesse humaine qui parfois nous couche sur le flanc... l'important étant de se relever à chaque fois !
RépondreSupprimerC'est difficile de rester toujours serein et debout. Se coucher pour reprendre son souffle quand la tempète est trop forte, c'est une manière de se préserver.
RépondreSupprimermerci à vous trois, c'est bon que vous soyez venues me lire ;-)
RépondreSupprimerComme je me reconnais dans tes mots!
RépondreSupprimerAujourdhui je redresse la tête, je redresse le dos, je retrouve de l'énergie
Demain on ne sait pas mais vivons le jour d 'aujourd'hui esavourons le puisqu'il est bon
oui Gazou c'est l'essentiel: vivre l'aujourd'hui, le savourer!
SupprimerQuel texte !
RépondreSupprimerIl dit si bien la condition humaine
Quel beau texte!
RépondreSupprimermerci Alain, merci Emilie...
RépondreSupprimerje suis touchée
Ce qui me vient de dire en lisant ton texte est que couchée par terre ou en pleine forme je ne suis pas seule. C'est ce qui compte. Que ne pourrais-je supporter du moment que suis en cette compagnie? La présence n'est pas là seulement lorsque tout va bien. kéa
RépondreSupprimerAaah! Le poète aux semelles de vent...
RépondreSupprimerCette fois-ci, c'est moi qui ne sais plus quoi dire...