Aujourd'hui, je me souviens...
Je me souviens d'un pli mémorable, qui me déchirait le dos
Pas moyen de lui échapper, j'étais faible sur un lit d'hôpital, incapable de bouger, incapable de me déplacer suffisamment pour aplatir ce fameux pli, le lisser, l'effacer, pour enfin souffler de soulagement
C'était un petit pli de rien du tout, dans ma chemise de nuit, que j'étais incapable de supprimer en bougeant et qui devint une vraie torture au fil des heures de la nuit
Oui je sais ce n'est pas un réel d'aujourd'hui, mais c'est à cela que j'ai pensé quand j'ai vu la consigne du jour
La vulnérabilité, la maladie...Et les infirmières parfois pas sympa...Des souvenirs mauvais pour moi aussi!
RépondreSupprimeret cette fois là l'infirmière de nuit ne fut pas très sympa, s'énervant de ce que je la dérange pour un pli!
SupprimerComme si c'était notre faute, d'être malade et qu'elle soit de garde! Nous aussi, on préférerait être chez nous, dans notre lit, hein?!
SupprimerGrrrrr
Bises
Et un grain de sable dans un plâtre... Bonjour le besoin de gratter avec une aiguille à tricoter! Prendre le pli d'en avoir toujours une avec soi en cas de jambe ou bras cassé !
RépondreSupprimerouiiiiii Charlotte, les chatouillis dans le plâtre...
Supprimertu as raison,toujours avoir une aiguille à tricoter quand on est plâtré!!
C'est comme avoir un petit cailloux dans sa chaussure, il est non seulement douloureux, gênant, énervant mais il pompe en plus notre cerveau, comme si nous avons nos neurones plissés.
RépondreSupprimerBonne journée Coumarine.
oh! Bizak... comme c'est joliment dit: nos neurones plissés... et ça me parle ;-))
SupprimerDe l'intérêt de dormir nu !! :-)
RépondreSupprimeren fait Alain le pli en question ne venait pas de mon vêtement, mais du pli malencontreux et répétitif qui se formait sur l’alèse qu'il y avait sur mon lit...
Supprimeralors, nue ou pas.... ;-))
C'est amusant, moi aussi j'ai parlé de ces plis qui m'empêchent de dormir...même sans être malade !
RépondreSupprimerAlors j'imagine combien ça a dû être pénible pour toi.
Gros bisous
¸¸.•*¨*• ☆
oui j'ai lu que tu es un genre de princesse au petit pois...
Supprimer;-))
J'imagine bien, Coumarine, combien cela devait être pénible et très désagréable. Les soignants ne se mettent pas toujours à la place du patient, et c'est bien dommage.
RépondreSupprimerBonne soirée, à toi. Je t'embrasse.
hélas il y a des soignants impatients qui ne supportent plus trop d'être dérangés, surtout au plus fort de la nuit
SupprimerBonne nuit à toi aussi
Si tu avais vu (et entendu) l'infirmière de nuit quand, après l'extraction d'une pièce qui devint vraiment détachée, complètement dans le pâté et musclé comme un lapin de trois semaines, j'ai échappé le pistolet.
RépondreSupprimerSi je n'avais pas déjà été quasi mort, elle m'aurait tué...
ne me dis pas que cet épisode t'est arrivé lors de ton hospitalisation enfant?
SupprimerAlors là, c'est impardonnable...
;-((
Mais non, c'était en 2006 !
RépondreSupprimerOn venait de me retirer le rein droit et un tas de viande autour.
Le lendemain, chargé comme un junkie avec ma pompe à morphine, plus un muscle actif (si, si, même la langue...)
Voilà comment, en attrapant le pistolet, je l'ai échappé.
Les premières fois, ce fut tangent mais ça marcha.
C'est évidemment quand il fut presque plein que je l'ai échappé.
Coup de pot (pour moi) ce fut sur le carrelage, pas dans le lit.
n'empêche quand on est très malade et affaibli, c'est vache cette attitude d'une soignante qui fait profession d'aider les gens
SupprimerOn dit le "pistolet" par chez toi?
Ici on dit platement "l'urinoir" ;-))
MDR pas l'urinoir, mais bien l'urinal hein!
Supprimer