allez encore un billet... besoin de me plonger dans l'écriture pour calmer mon trop plein d'angoisse. Oh! pas pour moi, mais pour mes enfants tous bruxellois.
Demain pas d'école, pas de métro, les enfants resteront chez eux. Cela pose forcément des problèmes pour les parents qui travaillent, sauf si eux non plus ne pourront rejoindre leur lieu de travail...
Le niveau d'alerte est maintenu au 4: danger imminent de menace terroriste. Je viens de lire qu'il y a une intervention policière dans le centre de la ville: il suffirait de trois fois rien pour que ça explose.
Comment les voisins immédiats peuvent-ils vivre sous cette menace terroriste? Que dira-t-on aux enfants demain pour expliquer qu'ils n'iront pas à l'école à cause de "gens très méchants"!
Il parait que nous avons tous une bonne dose de capacité de résilience...
Ce sera le moment d'en faire état...
Comme sur ton autre billet, dans ton autre espace, je me trouve bien impuissante à te dire quelque chose de rassurant.
RépondreSupprimerJe comprends ton inquiétude.
Quel monde vivons nous !
Douceur et sourires pour toi Coumarine, et pour tous ceux qui en ont besoin.
Je pense bien à toi, à vous tous...
RépondreSupprimerBises douces
Encore une journée difficile pour les Bruxellois.
RépondreSupprimerQuand cela va-t-il s'arrêter ?!
Douces pensées Coumarine.
curieux, la semaine dernière j'étais très active après les attentats comme pour contrer la monstruosité et c'est cette semaine que je me sens très déprimée
RépondreSupprimerJe pense bien à vous! La journée va être encore longue.
RépondreSupprimerBises
J'ai pensé à toi aujourd'hui, ainsi qu'à nos amis belges.
RépondreSupprimerJe me sens le cœur si serré.
Que dire, que faire sinon attendre ?
Et puis sincèrement, cette notion de résilience me fait doucement sourire...
Du courage Coum' !
et demain rebelote...
RépondreSupprimerla ville sera morte encore un jour de plus
Décidément, faudrait que ça s'arrête!
c'est le moment d'expliquer aux enfants qu'il va falloir être prudent et ne plus agir tout à fait comme avant. Malheureusement c'est un état de fait auquel nous, simple citoyen nous n'y pouvons rien, Il ne faut pas se résigner pour cela, mais apprendre à vivre autrement, nos parents l'on fait pendant la guerre, nous y arriverons.
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RépondreSupprimerUn sale moment à passer. Pas grand chose à faire sinon attendre et garder le moral
RépondreSupprimerQuatre années passées en Israël dont une partie pendant la deuxième intifada permet de relativiser.
RépondreSupprimerc'est tout à fait vrai heure-bleue.
SupprimerJe n'ai pas spécialement peur!
Je pense bien à toi, Coumarine, ainsi qu'à ta famille.
RépondreSupprimerJe t'embrasse.
Sans toutes ces mesures,
RépondreSupprimervous auriez comme en France 200 à 300 morts au moment où j'écris....
ces mesures coûtent cher à la communauté
Supprimerdes frais qu'on peine à consacrer par ex à l'éducation...au social
quel gâchis!
J'ai repris le métro pour la première fois aujourd'hui... Transit par la gare centrale. Je l'avoue, il y a un peu d'angoisse. Pourtant, je reste perplexe. Je me dis qu'avant samedi dernier, nous étions dans un niveau 4 sans le savoir. Et que ce sont les Parisiens qui ont payé le prix fort. Bien qu'on aie eu le musée juif de Belgique (et la synagogue, plusieurs fois). Le butin semble maigre, mais je veux bien admettre que pour des raisons de sécurité de l'enquête, on ne nous communique pas tout (sans que ce soit pour autant un complot).
RépondreSupprimerCeci dit, à Ixelles, les commerçants semblent vraiment bien accueillir les militaires. Venus de partout. Mais c'est une situation vraiment vraiment difficile... Il y a eu des moments où mon moral en avait pris un coup. Je ne suis pas la seule, d'ailleurs.