Je vous décrirai la mer que j'aime tant... mais ce sera pour du semblant, puisque je ne suis pas auprès d'elle, mais dans la chaleur calme de la ville qui petit à petit s'alourdit.
Mes yeux se promèneront sur cette eau si vivante, à la fois légère et mouvementée, qui suscite en moi des pensées vivantes, et vivifiantes, et ensoleillées, même quand la mer est grise sous un soleil gris.
Dans le regard de mon coeur, la mer n'est jamais grise, même si elle est grise...
Les yeux de mon âme s’attarderont sur l'étendue magique de cette eau sans cesse en mouvement et qui s’évade et vagabonde sans relâche de minute en minute...j'imaginerai plonger là-bas, loin, le plus loin possible, là où l'eau miroite....
Là où l'eau lave les terres et les cœurs, là où l'eau rejoint l'infini
C'est un très beau texte, qui va, vient, roule et tangue comme le mouvement de a mer, le mouvement de nos vies, de nos sentiments...il dit bien les impermanences, et en même temps, ce qui revient, les cycles de la vie, ce qui nous raccroche à ce sentiment si fugace d'éternité. La mer...les étoiles...
RépondreSupprimerJe te lis ici avec bonheur.
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Merci d'avoir repris le chemin jusqu'ici, Célestine
SupprimerCe soir, c'est comme une petite bouffée de bonheur, un sourire de vrai printemps
je n'oublie pas que c'est toi qui m'a menée sur le chemin des "cent mots"
SupprimerQui cherche trouve dit-on ;-)
RépondreSupprimerCe n'est pas un semblant de beau texte, c'est un vrai.
Je contemple avec toi. Bises.
merci Praline, je suis heureuse de te voir ici...
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